CANULES
COLON
HYDROTHERAPIE
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Quand
la technologie d’aujourd’hui
se met au
service d’une thérapie ancestrale
De
l’antiquité à nos jours, dans toutes les grandes civilisations
anciennes et sous toutes les latitudes, de nombreux écrits traitent de
l’irrigation colonique et de ses bienfaits. Le plus ancien étant
certainement le papyrus Eberth datant du XVème siècle av. J-C
(Ancienne Egypte).
On peut également citer les noms de Galien, Hippocrate, Ambroise Paré
comme fervents défenseurs de l’hydrothérapie du côlon. Mais plus proche
de nous, ce sont, parmi tant d’autres, les docteurs Kellogg,
Metchnikoff, Kousmine ou Schaller qui, ne reconnaissant pas l’avènement
de la médecine chimique comme seule thérapie, ont rendu à l’hygiène
intestinale ses lettres de noblesse.
Les appareils modernes d’hydrothérapie du côlon nous proviennent des
Etats-Unis où le soin a connu un grand es
sor dans les années 40-50.
L’HYDROCOLON®
est l’aboutissement de l’évolution technologique donnant une nouvelle
dimension, tant en qualité de soin qu’en sécurité, à cette thérapie
ancestrale.
L’irrigation
colonique est bien plus que le classique « lavement »
pratiqué en
milieu hospitalier ou encore régulièrement utilisé à la maison par nos
grands-parents lors de problème intestinaux.
En effet, si ce dernier
peut permettre de désengorger partiellement l’ampoule rectale, le
sigmoïde et une partie du côlon descendant, l’hydrothérapie du côlon
autorise un nettoyage complet du côlon, du rectum à la valvule
iléo-caecale en passant par le côlon transverse et le côlon ascendant.
Il
ne s’agit pas de deux techniques de soins différentes applicables à une
même pathologie mais bien de deux actes différents à appliquer pour des
pathologies différentes.
En outre, tant le lavement que l’irrigation
colonique sont à considérer également comme soins préventifs et une
philosophie ou hygiène de vie.
L’irrigation colonique, pourquoi ?
-
Nettoyer en profondeur le côlon dans
lequel, trop
souvent, stagnent des matières fécales accrochées depuis parfois
plusieurs dizaines d’années. Matières qui, en s’accumulant dans les
replis de la muqueuse, diminuent le dynamisme, le péristaltisme du
côlon et amoindrissent les fonctions de celui-ci engendrant très
souvent des troubles digestifs.
- Stopper
l’auto-intoxication provoquée par ces déchets fécaux non éliminés qui
vont fermenter. En effet, la fermentation et la putréfaction de ces
déchets vont générer des toxines à l’intérieur du côlon.
La paroi du
côlon étant une membrane semi-perméable, ces toxines, une fois
libérées, n’éprouvent aucune difficulté à se répandre via le sang et la
lymphe au travers de l’organisme tout entier ne pouvant lui apporter
que des désagréments pouvant aller jusqu'à une véritable
auto-intoxination.
Supprimer, par conséquent, l’origine d’un
grand nombre de troubles, voire de maladies, et permettre à chacun,
qu’il soit en parfaite santé ou souffrant, de se prémunir ou d’éliminer
une source de pathologie.
Améliorer le bien-être de chacun.
Offrir un côlon propre pour tout examen médical ou intervention
chirurgicale.
L’irrigation
colonique, comment ?
Quatre
jours avant l’irrigation
colonique,
tous les soirs, boire le
mélange suivant :
• Verser une cuillère à soupe de psyllium
dans un grand verre d’eau.
Laisser tremper une heure et mélanger
Boire ce mélange une demi heure avant de souper suivi d’un verre d’eau
claire.
Les
deux jours
précédant l’irrigation :
Manger peu et léger
Consommer de préférence des fruits, des légumes crus ou cuits, des
potages ou des jus de légumes
Boire un litre à deux litres d’eau par jour
Le
jour de
l’irrigation :
Ne pas prendre le repas précédant l’irrigation.
Boire de l’eau ou des tisanes non sucrées ou encore des jus de légumes.
Le
repas qui suit, il est conseillé de consommer du riz cuit à l’eau,
arrosé de deux cuillères d’huile de tournesol première pression à
froid. En tous cas, éviter de consommer des produits acides (lait,
yoghourts, fruits et légumes crus ...) ou excitants qui pourraient
irriter le côlon qui va mettre près de vingt quatre heures à se
rééquilibrer.
Prendre, durant quelques jours suivant le soin, des
probiotiques ou des levures permettant de régénérer la flore
intestinale qui, malheureusement, est partiellement éliminée ou
détruite durant l’irrigation colonique.
Le
soin :
•
Afin de vérifier l’absence de lésion au niveau du rectum, du canal anal
et de l’anus, le thérapeute pratique un toucher rectal.
•
Il insère ensuite une canule à double entrée (l’une pour l’apport d’eau
et l’autre pour l’évacuation des déchets) par voie rectale.
Le soin
proprement dit consiste alors en une série d’irrigation et
d’évacuation pouvant durer de 30 à 90 minutes selon les
besoins.
Durant
la période dite de « bain », entre une irrigation et une évacuation,
les matières stagnant dans le côlon se ramollissent et se détachent
progressivement de la paroi intestinale, en ceci aidées par un massage
doux et régulier du praticien (ayant également pour but de détendre le
patient).
A la fin de la séance, celui-ci va à selle afin d’éliminer
les dernieres matières ainsi que le surplus d’eau contenu dans son
côlon.
L’irrigation colonique est un soin indolore
Remarques :
-
Il est primordial, avant toute séance,
que le
praticien réalise un protocole de santé général concernant le patient.
-
Si le côlon, ou d’autres organes, ne sont
pas
atteints de troubles spécifiques, le nombre de séances conseillé varie,
selon les praticiens, de quatre à huit par an réalisées le plus souvent
lors des changements de saisons.
Cependant, lors d’un premier
traitement, il peut être conseillé de pratiquer deux ou trois séances
(voire d’avantage) en fonction de l’état du côlon. Séances qui seront
espacées d’une semaine.
- Si il s’agit du
traitement d’une pathologie spécifique liée au côlon, le praticien, le
médecin, jugera d’après ses compétences les besoins du patient et
éventuellement décidera de ne pas pouvoir pratiquer d’irrigation
colonique .
ATTENTION :
Il existe des contre-indications à la pratique de l’irrigation
colonique.